Témoignage coupure de courant Espagne :
« Magasins fermés. Plus de cartes. Plus de distributeurs. Plus de paiements.
Des gens faisant la queue comme des zombies pour acheter des bougies et des lampes torches.
Et tout ce à quoi je pouvais penser, c’était : et si l’euro numérique avait déjà été en place aujourd’hui ?
Je suis allé à mon supermarché Mercadona local pour faire les courses pour ma famille.
La panne a eu lieu juste au moment où j’entrais, puis la panique, la confusion, le chaos.
Tout le monde s’est précipité pour payer et partir. Mais c’était impossible.
Les terminaux de paiement ne fonctionnaient plus. Les distributeurs étaient hors service.
Les paiements en espèces ont tenu… mais seulement un temps, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de monnaie pour rendre la monnaie.
J’ai tendu un billet de 20 euros, dit à la caissière de garder la monnaie, et je suis rentré chez moi en courant.
Parce que quand on a du cash, on a encore quelque chose.
Mais quand tout est numérique, et que le système tombe ?
C’est fini…
Plus de cash.
Aucune alternative.
Plus moyen d’acheter de la nourriture.
Ni d’avoir du carburant.
Aucune issue.
Impuissance totale !
Vous comprenez maintenant ?
Et c’est exactement pour cela qu’ils veulent éliminer l’argent liquide :
Le remplacer par l’euro numérique, une monnaie invisible et programmable qui dépend entièrement de l’électricité, des applications, d’internet… et de l’autorisation de l’UE.
Un seul black-out. Une seule cyberattaque. Un seul “bug”… et vous êtes exclu de votre propre vie.
Et n’oubliez pas :
Ils suivront tout ce que vous achetez.
Ils décideront où et comment vous pouvez dépenser votre argent.
Ils auront le pouvoir de bloquer votre compte sans préavis
Et ils appelleront ça de « l’innovation » ou de la « commodité »
Hier, ce n’était « qu’une » coupure de courant. Et regardez le chaos.
J’ai passé 13H00 heures sans électricité. C’est revenu il y a quelques heures… mais partiellement !
Imaginez maintenant que toute votre vie financière soit liée à un système centralisé aussi fragile.
Plus de cash. Plus de secours. Plus de liberté.
Ce n’est pas de la commodité. C’est une prison ! »
Antonio de Barcelona
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